Vidéos de gameplay des jeux narratif payants pour iPhone notés entre 6 et 8 en espagnol

Lorsqu'il est difficile de réellement caractériser un jeu, de le mettre dans une case précise, on se demande toujours comment les développeurs de ce dernier ont trouvé l'idée saugrenue et originale... Il faut dire que le studio italien Santa Ragione n'aime pas resté dans le classicisme, et propose plutôt des titres innovants et iconoclastes, comme on avait pu s'en rendre compte avec FOTONICA sur iPhone et iPad. Seulement, ici, dans Wheels of Aurelia, on ne parle plus de runner, mais plutôt d'une sorte de voyage narratif, en voiture, comme un road trip dont vous pourrez influencer le déroulé... et vous aurez de sacrés surprises ! Le style de Wheels of Aurelia est très vintage dans sa présentation, mais c'est clairement le but recherché par le studio, étant donné que l'histoire se...

Après l'énorme succès de la série Lifeline, de nombreux éditeurs ont cherché à proposer une vision différente du style, avec plus ou moins de succès. Mais il ne fallait pas pour ce faire reprendre les mêmes mécaniques sans ajouter un petit quelque chose qui fait la différence. L'éditeur Plug In Digital s'était déjà lancé dans ce périlleux voyage en éditant Enterre-moi, mon amour, que nous avions apprécié lors de sa sortie, développé par un studio français. Et bien ils remettent le couvert en s'associant à un studio basé à Rouen, du nom de Norseman Interactive, pour nous proposer une aventure bien différente ici. Dans Somewhere : The Vault Papers, vous allez devoir aider une jeune journaliste, s'appelant Cat, qui se trouvera malgré elle au cœur d'une machination titanesque... il faudra lui...

Une suite, ce n'est pas toujours facile à faire. Mais un troisième épisode d'une franchise, c'est quelque chose de véritablement ardue, ne pas refaire ce qui a été précédemment fait, innover, sans pour autant s'éloigner trop du concept d'origine. Si l'éditeur Devolver Digital et les développeurs du studio Nerial ont réussi leur pari avec Reigns: Her Majesty qui arrivait à se démarquer par bien des égards de l'excellent Reigns tout en restant sur le même niveau d'exigence, on se demandait bien s'ils pouvaient continuer ce concept de tinder royal... Et bien ils nous ont surpris, en s'associant avec une énorme licence qu'est Game of Thrones d'HBO pour l'appliquer à leur style de jeu. Mais ce n'est pas pour autant que le couronnement sera effectif, jouant encore plus gros avec les fans du jeu...

Si l'éditeur Annapurna Interactive est un habitué de jeux sortants quelque peu des sentiers battus, avec à leur actif les excellents Flower et Gorogoa, les développeurs australiens de Mountains proposent ici leur tout premier jeu... ou presque, car l'un des protagoniste n'est autre que le responsable conception de Monument Valley, rien que ça ! Seulement ici, aucune autre perspective que l'exploration d'une situation amoureuse et de son évolution, avec un jeu dont le nom est également celui du personnage principal, à savoir Florence, jeune demoiselle de 25 ans qui va s’amouracher d'un certain Krish... et vous allez pouvoir vivre avec elle les différentes étapes de cette tranche de vie ! Il ne reste plus qu'à savoir si elle parviendra à aimer et se faire aimer ? Réponse en jouant, mais...

Les jeux de survie ressemblent souvent à un personnage à guider dans un environnement hostile, de la collecte de ressources diverses et de l'exploration d'environnement. Seulement, et on le sait par les temps qui courent, les migrants partant de leur pays de naissance en guerre, doivent réellement survivre à un périple qui lui est bien réel, avec toujours cette lueur d'espoir que ce sera mieux ailleurs. C'est partant de cette réalité, et exploitant une histoire vraie, que les studios français The Pixel Hunt et Figs se sont associés pour proposer, en partenariat avec la chaîne Arte (qui n'en est pas à son premier pied dans les jeux vidéos, avec notamment Type:Rider), d'une aventure interactive sur fond de survie sous le nom assez étrange de Enterre-moi, mon amour (ou Bury me, my love en...

Parfois, il y a des jeux qui ne parlent pas beaucoup, et qui pourtant arrivent à en dire long. Ce ne sont pas des jeux narratifs dans le sens stricts du terme, mais pourtant, par des visuels, des sons, des intentions, des moments, ils narrent une histoire où chacun trouvera ce qu'il a envie de trouver, comprendra ce qu'il aura envie de voir. BestLuck est exactement de ceux là, ne parlant pas beaucoup en dehors des quelques phrases du tout début de jeu, assez étrange, mettant une ambiance assez tendue. Il est d'ailleurs assez complexe de parler de ce titre créé par le développeur indépendant Jae Hyun Yoo sans en dévoiler quelques atours, mais nous allons essayer de garder ceci à l'esprit pour vous laisser le plaisir de la découverte scénaristique, surtout que, vous le verrez, la qualité...